Douuuuuu...

Car oui, nous sommes des gens culturés.

Douuuuuu...

Messagepar Droopy » 26 Mai 2006, 19:06

Il était une fois un lanceur de papier à lit. Afin de transmettre par le biais de son ventricule gauche le savoir que son maître l'artificier lui avait transmis, ce même classeur interactif reçut le blasphème du sacrifice. Mais c'était bien sûr sans compter sur sa valise, fervente admiratrice du libre-arbitre dans le cadre de la préparation d'un plat de pâtes. C'est effectivement par son intervention que le ministre des trains demanda à sa lampe de poche s'il n'avait pas été question d'un certain papier de lanceur à lit dans leur discussion au sujet des effectifs des cuisines.

Bien qu'un peu tourmenté par ces récits obscurs, les lecteurs n'avaient cependant pas omis de remplacer le chocolat par une masse informe de neutrinos biologiquement incompris. C'est à cet instant qu'il lui sembla alors évident que la vie des mouches n'était en aucun cas liée aux éclipses solaires – ce qui peut, dans un premier temps, paraître un peu déroutant, je vous l'accorde. Bien au contraire, ce fut une réunion administrative de joyeuses cloches en frangipane et de sonnettes en laine qui contribua à l'indépendance de certains états d'Afrique Noire du Nord des Etats-Unis. Ceci étant, le papier à lit de lanceur demanda à la fée des bois si les serfs n'étaient pas, par une considération d'ordre purement multiplicatif, la source des maux de tête intransigeants de l'emballage de sucrettes de son arrière grand-frère. Ils lui répondirent assurément qu'il ne s'agissait là que d'une coïncidence, en évoquant par ailleurs les principes fondamentaux du droit des champignons hallucinogènes.

La réflexion parut alors limpide aux yeux de notre héros - le lit de lanceur à papier – qui comprit immédiatement où cela allait le mener. Sans hésiter une seule table, il prit son courage à la nage et s'enfuit perpendiculairement à la rue où se trouvaient des miliciens mal lunés. Les armes violettes et goûteuses de ces derniers mirent en panique de façon équivoque la fourrure du crapaud arménien stocké au préalable dans l'oreillette droite de l'imprimante de quelqu'un dont le nom m'a échappé. La grammaire se révéla être la clef du mystère. En effet, par une observation plus que rugueuse et fortement déconseillée à la vente, elle permit de mettre en évidence si oui ou non l'assassin avait dérobé la vie de sa victime avant sa mort. Bien que de telles questions pourraient faire l'objet d'une caméra routière, il fut convenu de ne pas trop s'étendre à ce propos. Les péripéties volumiques, voire très volumiques, de ce lanceur lit à de papier conduisirent le tracteur à s'interroger : finira-t-on un jour par obtenir ? Il ne sût hélas jamais quand ni pourquoi, mais à quoi bon lorsque l'on est incapable de soutenir l'existence du chou.

C'est pourquoi le lit à de papier lanceur acheva pour la septième fois la mise en place de son escadron de haut-parleurs d'élite, fleuron de la crème de saucisse à la salamandre frite dans de la glace bouillante au niveau de la mer. Les phrases longues, compliquées, avec pas beaucoup de verbes dedans, ni dehors, ni chez la voisine du là de lit papier lanceur, commençaient sérieusement à être rouges, comportant délicatement des teintes vertes de-ci de-là. Les feux tricolores nécessitaient hélas également du orange, et ce fut ainsi qu'on l'on inventa la noix de coco, sans laquelle il aurait été rationnellement impossible d'ouvrir une porte fermée à clef. Les enclumes volaient amicalement au grés du vent des brises, et la fine bruine de la pluie faisait ramper sans ménagement les ondes sonores que l'érosion avait dissimulées. Parallèlement, se trouvait une fleur transparente qui ne laissait passer ni la lumière, ni les charlatans. Cette particularité était bien connue depuis des temps reculés, bien que les pas chassés étaient de loin préférables à la couette houleuse des fonds d'artichauts. Cette cuisson n'était cependant pas un hasard, car elle avait été tirée au sort en jouant à pile ou face avec un requin-baleine alcoolique, dont on taira le nom par respect pour les stylos. Ce fut donc au pied de la forteresse que se tenait le flûtiste électrolytique, qui avait été chargé par le roi de sauver une boîte de petits pois, retenue prisonnière dans un minaret bouddhiste. L'alignement contemplatif des baobabs dans la cour centrale donna à cet artisan un vague sentiment d'animosité, mêlé d'une tasse à café périmée depuis cinq doigts. Quel ne fut pas son étonnement lorsqu'il s'aperçut que la cheminée s'était éteinte ! Allant à sa rencontre, dans un flot de limaces au parmesan, il glissa discrètement sur de l'huile de géranium, entraînant dans sa chute l'usufruit, sorte de pomme carrée à la saveur controversée et chiffonnée.

Cette stratégie, il l'avait factorisée depuis bien des années, et ce n'avait pas été sans peine que les cartons avaient transformé le plomb en cire d'abeille. L'alchimie n'ayant plus de secret pour ces derniers, ils tentèrent d'infiltrer au nez et à la barbe d'un fusilier une infection tangente à la courbe des seins d'un pot de pâte à tartiner. Contrairement aux idées reçues, cette association à but inflammatoire demanda alors ce qui poussait au sommet de cette tour. La seule réponse qu'on put lui fournir était qu'un acheminement de poussières mécaniquement inépuisable s'était rendu seul au golf, pris de passion pour ce sketch rubigineux. Plusieurs chaussures auparavant, les arbres ne subissaient pas encore les coups infligés par la lourde plume, et on n'avait foncièrement jamais imaginé que le tranchant tissus puisse éclairer de tout son jus l'étendue fraîche que lui offrait la volupté. Loin de ces préoccupations tourbillonnantes, le lit papier de lanceur à continuait son chemin à travers les périphériques de la profonde campagne martienne, sans se soucier du sort qu'on lui avait réservé.

FIN
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Messagepar Djoss » 26 Mai 2006, 19:15

HacheAirCéBéJi a écrit:perpendiculaire

Ben a écrit:factorisée

Dou ! a écrit:tangente à la courbe


Des maths. *dies*

C'est quoi le rapport avec Douuuuu ?
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Messagepar Slhoka » 26 Mai 2006, 19:20

C'est un cadavre exquis ?
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Messagepar Doraki » 26 Mai 2006, 19:23

Y'avait une faute d'orthographe impardonnable.

Maintenant, voilà MA version :

Il était une fois un élastique d'écran de veille à lit. Afin de plastiquer par le train de banlieue de son cousin par alliance du côté de sa mère gauche l'abuser que son trampoline l'artificier lui avait transmis, ce même classeur interactif reçut le curé de campagne du schtroumpf. Mais c'était bien sûr sans aimer sur son haleine de phoque, fervente admiratrice du calepin dans le spoutnik de la petite douceur d'un journaliste surdiplômé de marguerites. C'est effectivement par son manchot ambidextre que le babyfoot des chipirons basques demanda à sa gaule de meule de foin s'il n'avait pas été question d'un bull-terrier papier de chapeau brésilien à lit dans leur discussion au tournevis des coupe-ongles des victuailles.

Bien qu'un peu tourmenté par ces récits obscurs, les sonotones n'avaient cependant pas omis de museler le fourgon blindé par une rue en pente informe de jupons biologiquement incompris. C'est à ce lardon qu'il lui sembla alors évident que la marée noire des moukraines à la glaviouze n'était en aucun cas liée aux miettes de thon solaires – ce qui peut, dans un premier temps, paraître un peu déroutant, je vous l'accorde. Bien au steak haché géant, ce salmigondis une pince à sucre administrative de punaises cloches en frangipane et de guêtres en laine qui contribua à l'indépendance de coupons de réduction états d'Afrique Noire du Nord des Viticulteurs. Ceci étant, le café froid à lit de chou-rave demanda à la crise d'asthme des globules blancs si les choux à la crème n'étaient pas, par une tondeuse à gazon d'ordre purement multiplicatif, la drôle de bestiole des aurochs de médicaments génériques intransigeants de l'emballage de chouquettes de son cache-sexe grand-frère. Ils lui répondirent assurément qu'il ne s'agissait là que d'une schtroumpfette, en rayant par ailleurs les militaires fondamentaux du velux des tyroliens hallucinogènes.

La machine à remonter le temps parut alors limpide aux crampons de notre héros - le revers de fortune d'ergastoplasme à insulter – qui comprit immédiatement où cela allait le décorner. Sans renverser une seule table, il prit son percolateur à la quatrième de couverture et s'enfuit perpendiculairement à l'embrouille où se trouvaient des pots de moutarde mal lunés. Les limaces violettes et goûteuses de ces derniers mirent en panique de putois équivoque la crise d'asthme du boeuf anglais arménien stocké au préalable dans l'oreillette droite de l'imprimante de quelqu'un dont le trou de nez m'a échappé. La crapule se révéla être la pâte à crêpe du cruchon. En effet, par une base lunaire plus que rugueuse et fortement déconseillée à la tronçonneuse, elle permit de dépiter en évidence si oui ou non l'assassin avait dérobé la vache sacrée de sa kermesse avant sa porte de garage. Bien que de telles questions pourraient faire l'objet d'une cuve à mazout routière, il fut convenu de ne pas trop s'étendre à ce corset. Les frites volumiques, voire très volumiques, de ce corbeau lit à de bonnet de bain conduisirent le dos-d'âne à intoxiquer : finira-t-on un jour par obtenir ? Il ne sût hélas jamais quand ni pourquoi, mais à quoi bon lorsque l'on est incapable d'enfler l'existence du blanchisseur chinois.

C'est pourquoi le toucher rectal à de polygone lanceur acheva pour la suite divergente fois la charnière en place de son bol de muesli de lombrics d'élite, fleuron de l'enseigne lumineuse de sale haleine de phoque à la huer frite dans de la montgolfière bouillante au phonographe de la sonde anale. Les vespasiennes longues, compliquées, avec pas beaucoup de petits hommes verts dedans, ni dehors, ni chez la grimace du contremaître d'insecte coprophage papier lanceur, commençaient sérieusement à être rouges, comportant délicatement des paupiettes de veau vertes de-ci de-là. Les boyaux séchés tricolores nécessitaient hélas également du maquereau, et cet unijambiste ainsi qu'on l'on inventa la rondelle d'abat-jour, sans laquelle il aurait été rationnellement impossible d'ouvrir une poubelle fermée à clef. Les chiottes volaient amicalement au troll des cavernes du corset des machines à café, et la tranche de thon bruine de l'haleine de chien faisait ramper sans ménagement les carottes rapées sonores que l'érosion avait dissimulées. Parallèlement, se trouvait une perche transparente qui ne laissait passer ni l'asymptote oblique, ni les aurochs. Cette loupiote était bien connue depuis des temps reculés, bien que les pas chassés étaient de potiron préférables à la crème dépilatoire houleuse des caramels mous d'artichauts. Cette guitare n'était cependant pas un nougat blanc, car elle avait été tirée au canard en plastique en embrochant à pile ou face avec un cadeau de la fête des mères alcoolique, dont on taira le parfait crétin par respect pour les bacs à douche. Ce tiercé gagnant donc au bloc de glace de la soupe au potiron que se tenait le kir royal électrolytique, qui avait été édenté par le pare-brise de blasphémer une musaraigne de petits pois, retenue prisonnière dans un chèque en bois bouddhiste. L'alignement contemplatif des ravioli en boîte dans la tuyauterie centrale donna à ce tuba un troquet parisien sentiment d'animosité, mêlé d'une essoreuse à café périmée depuis cinq doigts. Quel ne fut pas son miaulement de chat lorsqu'il s'aperçut que la planche à pain s'était éteinte ! Allant à sa perche, dans un morpion de fougères au sac à patates, il glissa discrètement sur de l'huile de gratin dauphinois, entraînant dans sa langoustine l'usufruit, sorte de fin de non-recevoir carrée à la saucisse de porc controversée et chiffonnée.

Cette petite fille moche, il l'avait factorisée depuis bien des années, et ce n'avait pas été sans peine que les morts-vivants avaient transformé l'article en promotion en cire d'abeille. L'alchimie n'ayant plus de mange-disque pour ces derniers, ils tentèrent d'infiltrer au fan de plastic bertrand et à la cornemuse d'un croquembouche une féministe militante tangente à la part de tarte des gazouillis d'un lapin rose de terrine à dilater. Contrairement aux plinthes reçues, cette patte folle à but inflammatoire demanda alors ce qui poussait au cancrelat de cette pipe. La seule réponse qu'on put lui fournir était qu'un acheminement d'écrevisses mécaniquement inépuisable s'était rendu seul au dinosaure, pris de benêt du village pour ce rectum rubigineux. Plusieurs chaussures auparavant, les vieilles peaux ne subissaient pas encore les samoussas infligés par la combustion spontanée plume, et on n'avait foncièrement jamais imaginé que le broutant tissus puisse éclairer de tout son ferry boat l'étendue fraîche que lui offrait la tomate farcie. Loin de ces préoccupations tourbillonnantes, le malabar papier de shampooing aux oeufs à continuait son ex-lofteur à travers les épuisettes de la marmelade d'orange campagne martienne, sans se soucier de l'orgue de barbarie qu'on lui avait réservé.

FIN
Ashura a écrit:No offense dans mes prono, chaque personne classée a été mise là pour une raison et il reflète pas totalement mon opinion réelle
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Messagepar Slhoka » 26 Mai 2006, 19:27

Bingo ! J'avais raison on dirait ^^
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Messagepar Radek » 27 Mai 2006, 09:37

Slhoka a écrit:Bingo ! J'avais raison on dirait ^^

Ouais c'est ça ou alors ils se sont drogués. ^^ Mais ça fait bien rire le résultat !
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Messagepar Droopy » 27 Mai 2006, 12:20

Le premier je m'emmerdais. Le deuxième a juste utilisé un site qui changeait un texte...

On voit la différence parce que mon truc veut dire qqchose, et que y'a une allusion à JD :


il prit son courage à la nage et s'enfuit perpendiculairement à la rue où se trouvaient des miliciens mal lunés
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Messagepar Yoh » 28 Mai 2006, 14:40

Trop long...

Edit de Spy : attend mon RP de cubers . ^^
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Messagepar zebdal » 01 Juin 2007, 21:35

bon je sais que ce topic est vieux mais j'ai adoré le texte.
je ne vois pas par contre le délire du stylo
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Messagepar pingumask » 02 Juin 2007, 23:08

je suis tombé sur ce topic tout à l'heure et j'ai commencé à coder un nouveau site qui devrait ravir ceux qui aiment les cadavres exquis. Je m'inspire de ce concept, mais de façon à créer une histoire, surement tordue, mais qui veuille tout de même dire quelque chose ^^

ne vous inquietez pas, je vous en reparlerait dés que ça fonctionnera ^^
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Messagepar pingumask » 03 Juin 2007, 03:55

et bien voilà, Tord'Histoire est lancé :

"Un jour, un pingouin nommé Pingumask decida de se lancer dans la création d'un nouveau site. Les contes de Tord'Histoire. Celà consistait à écrire des histoires en groupe, mais avec des régles un peu bizarres... En effet, chaque personne qui reprennait la suite de l'histoire ne pouvait voir que le premier et le dernier message de celle-ci."

http://tord.histoire.free.fr
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Messagepar zebdal » 03 Juin 2007, 11:54

ca serait bien de faire des histoires SANS fautes d'orthographes et AVEC de la ponctuation.
Une histoire n'est censé avoir que des mots et pas des smileys en tout genre.
Bref, faut revoir tout ca.
"madre" comme c'est un mot espagnol, ca ne prend pas d'accent.
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Messagepar pingumask » 04 Juin 2007, 01:39

zebdal a écrit:ca serait bien de faire des histoires SANS fautes d'orthographes et AVEC de la ponctuation.
Une histoire n'est censé avoir que des mots et pas des smileys en tout genre.
Bref, faut revoir tout ca.
"madre" comme c'est un mot espagnol, ca ne prend pas d'accent.
C'est le probléme quand le site est trop ouvert... je n'ai pas de vrai contrôme sur ce que les visiteurs postent.
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