Roxas a écrit:Vous êtes vraiment faibles pour boire jusqu'en gerber, buvez pas si vous connaissez pas vos limites sérieux parce-que gerber à une soirée, ça craint un max et niveau plombage d'ambiance, c'est réussi par contre.
Baah, ta mère elle avale bien mon sperme jusqu'à en gerber, donc mouarfff...
(désolé trop tentant, et vu que c'est toi, je me le permet sans souci
)
Pour le débat sur l'alcool :
Avant j'ai pas mal bu pour boire. c'était le truc. Pis maintenant je le fais plus (évolution quoi), mais les personnes avec qui je trainais me font toutes "on te voit plus en soirée" ou "viens on se met une race ce soir". Et je refuse toujours. Si on me dit qu'on fait une soirée, baah je viens, je bois comme tout le monde, à mon rythme. Au bout d'un nombre conséquent de verre, je finis dans la baignoire d'un mec, bouteille de vin à la main, avec ce gros con d'Alex. Et on a picolé.
Si dans notre connerie plus tard, on se lance un pari stupide de picoler un truc trop fort/trop vite, ou qu'on joue à la console (Alex
) baah ça ira peut-être plus mal.
Se mettre mal est pas une fin en soi.
Juste que pour certaines soirées, avoir bu ça te permet de rire de n'importe quelle connerie, de faire n'importe quoi, de se marrer. Une bouteille de jus d'orange se renverse par terre, tu éponges avec des confettis et tu rigoles quoi (pas le lendemain matin, forcément). Mais pas d'embrouilles.
Pour l'histoire, ma copine à bu tranquillement ses verres, se resservait après, et a pas fait gaffe que ça allait monter plus tard. (elle a suivi le rythme de mon meilleur pote à la téquila et se sont fait la bouteille à deux pendant que je trempais mes pieds dans le bain).
Moralité : boire en connaissant ses limites et les effets de l'alcool (ce cocktail là monte de suite, celui là dans une heure), ça le fait. Boire pour boire, sans moi. Ne pas boire, ça me va aussi. =)