Encore une fois, c'est à un garçon qu'il incombe de sauver le monde.
C'est la fée femelle qui reste sottement piégée avec Link dès le début du jeu alors que son frère parvient à s'échapper (on m'expliquera comment une fée mâle est possible).
Le méchant du jeu est un ancien sorcier, comme quoi même réduit à l'état d'un masque, un homme peut encore être capable de semer la destruction.
Anju ne bouge pas le petit doigt pour rechercher son petit ami disparu comme quoi, les filles ne sont vraiment bonnes qu'à remplacer les fontaines vu le torrent de larmes qu'elle produit !
Même la mère de Kafei (le disparu, fiancé d'Anju) préfère demander à quelqu'un de le rechercher pour elle qui est trop occupée à se prélasser dans son bureau ou au bar du coin.
Kafei lui même, même réduit à un état proche d'un mioche veut toujours continuer à combattre pour honnorer sa promesse comme quoi seuls les garçons font preuve d'honneur.
Kafei n'hésite pas non plus à s'introduire dans un repère supposé inviolable et à tout ça pour... une fille.
Qui est encore prisonnière dans un donjon ? Tiens, encore une princesse ! Comme quoi, elles ne savent qu'être capturées !
Qui n'est pas fichue de viser juste avec un arc et qui fait le guignol face à des extra-terrestres ? Tiens, encore une fille ! Et planquée alors qu'elle passe ses journée à tirer en plein air en plus !
Qui fixe un rendez-vous la nuit à Link et qui peut rester jusque l'aube à l' attendre tellement elle est dépendante des hommes ? Anju !
Qui n'est pas fichue de livrer du lait sans homme à ses côtés ? Crémia ! Tiens, encore une fille !
A prendre au second degrès .
.
