J'ai eu mes notes.
Programmation impérative (du C) : 19/20 (écrit) 19.5/20 (TP)
Dynamique Newtonienne (la mécanique de base, on est allé jusqu'à la résonance) : 19/20
Méthodes et outils de la physique (calcul différentiel, géométrie différentielle, déterminants, etc) : 15.5/20
Optique géométrique : 0/20 (bon, allez, en fait, j'étais absent, j'me suis trompé de date <_<')
Les autres matières, des notes moins extrêmes : 14/20, 13/20, 10.5/20, 10/20.
La procrastination vaincra.
Faut quand même que j'essaie de travailler l'an prochain (cette année j'ai lu plus de bouquins hors programme que ce que j'ai travaillé sur les cours, c'est pas très rentable, du moins pas à court terme... mais bon, la légèreté des cours de la fac le permet). ;_;
PS : Pour ceux qui ne me connaissent pas beaucoup (ou qui m'auraient oubliés), j'étais en L1 de physique fondamentale. Ca change du lycée, c'est beaucoup mieux (surtout que j'étais en ES
).
Sinon, pour mettre mon petit grain de sel à la conversation en cours : les pseudo-langages algorithmiques, ça peut aussi être pratique si on veut traduire un programme en un autre langage non ? Par exemple, une entreprise vous demande de faire un programme, vous commencez tout de suite à le faire dans un langage donné, puis l'entreprise vous recontacte pour vous dire qu'elle ne le veut pas dans ce langage. Ca va être beaucoup plus difficile de traduire le programme si vous ne l'avez pas en langage algorithmique, directement à partir du langage dans lequel vous l'avez écrit.
Après, je ne sais pas si ce genre de situations se produisent souvent.
Et je rejoins Poilon, de toute manière, il est nécéssaire d'avoir l'algorithme en tête, puisque l'algorithme n'est rien d'autre que la procédure, qui est indispensable, presque quoi qu'on fasse (pas qu'en programmation, et en programmation encore plus qu'ailleurs... Depuis cette année je vis en voyant des algorithmes partout.
). Et si on n'a pas une mémoire permettant d'avoir tout l'algorithme en tête sans oublier le début lorsqu'on arrive à la fin, c'est bien de le noter... D'où l'intérêt du pseudo-langage algorithmique en programmation, nan ?
J'avoue qu'en C, je ne passe pas par là, parce que ce qu'on nous demande est assez simple en première année (je faisais tout de suite sur la copie, au propre, en C, au partiel), mais je pense que ça a quand même son utilité, ça me semble évident.
Ah non, en fait on a inventé un pseudo-langage qui sert à rien et on perd un semestre à l'enseigner aux élèves, tout en leur demandant de continuer à l'utiliser par la suite pour les embêter à chaque fois qu'ils veulent faire de la programmation. Suis-je bête. Où avais-je la tête !?
Sinon, toujours en parlant d'algorithmes et de programmation, je trouve qu'il y a quelque chose d'assez bizarre. Quand je travaille sur un problème, parfois, un peu comme je viens de le dire, j'ai du mal à garder le début du problème en tête lorsque je pense à la fin (en lisant l'énnoncé), et ça donne quelque chose de très confus. Parfois, je ne sais même plus sur quoi je travaille, ce que je dois faire, et j'ai littéralement le sentiment d'être bêtement assis à réfléchir sans savoir ce que je pense. C'est comme si je ne comprenais plus rien au problème, et que mon cerveau faisait tout le travail à ma place ! (Evidemment, le cerveau fait toujours tout le travail, mais ici, je veux dire que j'en ai pas trop conscience). Donc je suis devant un problème, à force de réfléchir j'y comprend plus rien et j'arrive plus à voir comment sont liés les différents éléments, je me gratte la tête, je me tire les cheveux, puis pouf, mon cerveau me chuchotte la bonne réponse, qui est entièrement cohérente et qui résoud le problème, sans que j'ai eu l'impression que c'est moi qui ai trouvé cette solution.
Et à chaque fois, je suis très étonné. Ca ne le fait pas pour les problèmes très simples dont la solution est immédiate ou presque, mais je trouve ça vraiment amusant (ou bizarre). Ce doit être prace qu'on trouve une solution élaborée en un clin d'oeil, alors que de longues réflexion se sont révélées infructueuses que ça donne ce sentiment bizarre.
J'imagine qu'on a chacun sa manière de penser les choses et de les voir dans un problème, donc je ne sais pas si vous travaillez de la même façon, mais je pose quand même la question. Vous avez la même impression en faisant de la programmation ?