Blea Gelo a écrit:Why did you do this random falcon punch recover, i woulda won if you had recover with a single up b... I - I - I mean that was absolulty insane, nobody would do this in the real life dayum, I guess this is how the France rolls yo
Epidermik a écrit: wow, I've been showing my friends your videos and was telling them that "Djag is that good and he doesnt smoke!"
Thieum McCloud a écrit:ô_ô
EDIT
Je désigne ce film vainqueur du WTF Movie Award : http://www.youtube.com/watch?v=xOBCMoDGGZU
porc a écrit:Ce film est très très bien
Robe Bottine a écrit:Si on peut volontiers s'interroger parfois sur la santé mentale des japonais (et ce n'est certainement pas ce film qui va nous rassurer là dessus), on ne peut en revanche nier qu'en matière d'avance sur leur temps, ils se posent là.
Hausu a déjà 30 balais et pourtant, il épouse une telle richesse inventive et visuelle qu'on jurerait que le film n'a pas plus de cinq ans d'ancienneté.
Bien sur je suis surement pas en train de dire que les films d'antan sont systématiquement pauvres artistiquement et les oeuvres récentes des modèles de prouesse artistique.
Non, c'est juste que les faits sont là : Hausu n'a pas pris une ride trente années après sa création.
Une inventivité de tous les instants se traduisant par une multiplication sans cesse grandissante d'effets de lumières, de filtres de couleur, de montage, de photographie, de trucages bluffants...
Paradoxalement, l'intrigue principale s'avère très superficielle : une jeune lycéenne accompagnée de six amies se rend dans la maison de campagne de sa tante, une demeure bien entendu hantée et pire que ça : vivante...
L'ambiance du film est absolument inqualifiable. On navigue quelque part entre le manga, la bande-dessinée "live" (les personnages évoluant parfois dans des décors dont l'arrière plan peint fait office de "trompe-l'oeil"), l'horreur cartoonesque anticipant sur les Evil Dead de Raimi, et on a même droit à de drôles de séquences musicales joyeuses à l'imagerie hippie (la musique fait d'ailleurs penser à du Jefferson Airplane de la grande époque).
Malheureusement, ce mélange étourdissant de thèmes n'est pas sans conséquence fâcheuse : c'est un peu "trop beaucoup" au bout d'un moment, si bien qu'on frôle l'indigestion, en particulier lors du final horrifique totalement dément, d'une hystérie rarement vue au cinoche : les meubles prennent vie, un piano dévore une câtin, une autre découpée en morceaux parvient à faire virevolter ses membres, les portes claquent, une tapisserie de chat dégueule du sang, des spectres apparaissent et disparaissent, des vortex spatio-temporels entrainent les jeunes filles dans des limbes sans fin, etc.
Etourdissant, et moi qui suis pas trop friand en temps normal de cinéma nippon, j'avoue avoir été un chouia gâvé par le côté manga parfois un peu trop prononcé à mon goût.
Quoiqu'il en soit, que l'on soit hermétique au cinéma asiatique ou bien un fan acharné, ce film est à découvrir absolument, histoire de se ramasser quand même malgré ses quelques défauts une bonne tarte dans la gueule.
Un film malheureusement difficile à trouver puisqu'uniquement dispo en dvd sur le continent asiatique.
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